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La Sardaigne
Side-car

Par Gilles Nulli

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La Sardaigne

Le départ de Saint-Jorioz est donné le matin à 10h en direction du tunnel du Fréjus et de l'Italie. Nous avons une grosse journée de 600 kilomètres pour rejoindre le Ferry.

Le départ est à 21h et nous allons glisser tranquillement mais sans traîner vers la Méditerranée .
Le bateau de Corsica ferries est entré dans le port de Golfo Aranci à 6h30.Il fait encore nuit noire et nous prenons la direction de Porto Rotondo. 
Nous nous rendons à Arzachena pour visiter les monuments archéologiques de la région. La Sardaigne est réputée pour ses Nuraghes . Ce sont des vestiges du néolithique parfaitement conservés.
Nous commençons par la TOMBA dei GIGANTI , la nécropole MURI, le NURAGHES La PRISGIONA. Intérressant à voir et bien expliqué par les petits bureaux d'informations présents sur chaque site.

Premier jour sur l'île

Ce matin, la météo est encore instable. Nous quittons notre hôtel sous la pluie. Nous avons prévu environ 250 kilomètres entre les détours et les visites jusqu'à Porto Cortes où nous allons nous poser pour 2 nuits.

Side-car chargé et bagages étanches arrimés, nous prenons la route à 10h.

 

Direction Oschiri, nous souhaitons "gravir" le Monte Limbara. Même si son altitude n'est pas très élevée (à peine un peu plus de 1 300 m), le Limbara apparaît comme une montagne aussi imposante que suggestive avec ses cimes rocheuses modelées par les agents atmosphériques qui, au cours de millénaires, lui ont donné une forme étrange et bizarre.

 

Nous croisons deux groupe d'Allemand qui souhaitent eux aussi profiter de la vue exceptionnelle promise. Nous allons être servis. La pluie tombe de plus en plus fort et un épais brouillard nous empêche d'y voir à plus de 20 mètres.

Nous montons quand même au bout de la route pour y voir ses gros blocs de pierres aux formes si particulières.

Météo capricieuse

Ce matin, la météo est encore instable. Nous quittons notre hôtel sous la pluie. Nous avons prévu environ 250 kilomètres entre les détours et les visites jusqu'à Porto Cortes où nous allons nous poser pour 2 nuits.

Side-car chargé et bagages étanches arrimés, nous prenons la route à 10h.

 

Direction Oschiri, nous souhaitons "gravir" le Monte Limbara. Même si son altitude n'est pas très élevée (à peine un peu plus de 1 300 m), le Limbara apparaît comme une montagne aussi imposante que suggestive avec ses cimes rocheuses modelées par les agents atmosphériques qui, au cours de millénaires, lui ont donné une forme étrange et bizarre.

 

Nous croisons deux groupe d'Allemand qui souhaitent eux aussi profiter de la vue exceptionnelle promise. Nous allons être servis. La pluie tombe de plus en plus fort et un épais brouillard nous empêche d'y voir à plus de 20 mètres.

Nous montons quand même au bout de la route pour y voir ses gros blocs de pierres aux formes si particulières.

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